SuperGerets l'a fait.
Plus fort que 395 personnes (nos parlementaires qui ont voulu en savoir plus sur son salaire), plus fort que 92% des Marocains qui ont voté pour la constitution qui a mis le principe de la reddition des comptes et transparence des comptes publics...
Plus fort que tout.
Avec Gerets vous avez la totale : Vous quittez la CAN 2012 avec une coupe Africaine (de cheveux) après un petit entrainement en Espagne pour se préparer au climat Africain. :s
Mais Gerets a plus que ça dans sa poche, il sait faire mieux. La preuve !
Sur les colonnes d'Aujourd'hui le Maroc, de ce vendredi, un journaliste a osé poser la question qui Enrage Gerets...
Il a posé la question à 250.000 euros (ou 80.000 euros selon les versions) : Mais quel est votre salaire votre excellence Mr Gerets ?
Mieux que tous les comics US et Hommes aux super-pouvoirs, Gerets s'enerve en restant calme et aurait répondu au Journaliste : "Mon Salaire ? ça ne vous regarde pas." Et vlan !!!
SuperGerets est tout, il est mieux que Chuck Norris Et Van Damme réunis : Il répond à tout un pays chez qui il bosse : "Mon salaire ? ça ne vous regarde pas".
Venu sauver la république Tamtam que nous sommes devenus, SuperGerets connait ce qui est bien pour nous, mais nous ne devrons rien savoir de lui.
Il est fort, bon et beau notre SuperGerets. Il a fait mieux que tous nos partis politiques et que tous les nihilistes, 20 février, Ila Al Amam et Adl Wa Ihssan réunis : il a démontré que Benkirane et la nouvelle constitution ne valent rien devant lui et en peu de temps.
Superpuissat, SuperGerets montre le chemin à tous nos fraudeurs nationaux. Dans la déclaration d'impôt et dans la case : Quel est votre salaire ? Pour moi la réponse est toute faite : Mon salaire ? ça ne vous regarde pas Mr le Fisc...
N.B : désolé si je passe pour le raciste dans mes 2 derniers articles, mais je vous assure que je n'ai rien, mais vraiment rien contre tout étranger ou non étranger... Je veux juste que l'on donne à Gerets ce qui est à Gerets... Ce Mec est trop fort et il l'affirme.
